La Guinée Équatoriale est en proie à un scandale sans précédent qui secoue les plus hautes sphères du pouvoir et met en lumière des comportements inappropriés au sein des institutions du pays.
Baltasar Ebang Engonga, fils de Baltasar Engonga Edjoo, président de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC), est accusé de pratiques compromettantes ayant pris une ampleur inédite.
En sa qualité de directeur général de l’agence nationale d’investigation financière, Baltasar Ebang Engonga marié et père de 6 enfants , aurait utilisé les équipements de surveillance de son bureau à des fins personnelles. Selon les révélations qui émergent, ces appareils auraient servi à enregistrer ses relations intimes, donnant lieu à une collection de plus de 400 vidéos. Ces enregistrements, filmés dans des lieux variés allant des espaces professionnels aux endroits publics, ont récemment fuité sur les réseaux sociaux, suscitant l’indignation et la stupéfaction.
“Avec près de 400 femmes potentiellement concernées, c’est toute l’interconnexion du pays qui est menacée. Les autorités doivent agir rapidement pour protéger la population », a déclaré une source proche du dossier.
Les vidéos dévoilent des relations avec des femmes mariées, des jeunes femmes, et des personnalités proches du cercle présidentiel.
Parmi les partenaires mentionnées figurent des personnes hautement respectées, telles que la femme du directeur de la Sécurité Présidentielle, la femme du Procureur Général, et la fille du directeur général de la Police. Plus encore, des liens ont été établis avec les femmes de plusieurs ministres, notamment celle du Ministre Oburu, ainsi qu’avec la femme de son propre petit frère et la femme enceinte de son oncle.
Cette affaire révèle non seulement une infraction éthique, mais aussi des possibles implications légales et sanitaires. Le Procureur Général a d’ailleurs décidé d’ouvrir une enquête approfondie pour faire la lumière sur cette affaire, et ce, dans le but de déterminer si Baltasar Ebang Engonga a délibérément mis en danger la santé de ses partenaires en leur transmettant des maladies. Une telle accusation, si elle s’avérait fondée, ajouterait un volet crim!nel à une affaire déjà complexe et fortement médiatisée.
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