Après le célèbre feuilleton de sext@pe des deux policières au Cameroun, c’est autour du Congo. Depuis maintenant trois (3) jours, des vidéos intimes attribuées à l’influenceuse Juliana ont pris en otage les réseaux sociaux.
Les séquences privées, partagées sur TikTok, WhatsApp et Telegram, exposent Juliana dans des postures compromettantes, provoquant une onde de choc et divisant l’opinion entre défenseurs de sa vie privée et critiques sur son image publique. Les circonstances exactes de la diffusion de ces vidéos intimes restent floues. Pour l’heure, o
n ignore si ces vidéos ont été volées, partagées volontairement ou publiées à la suite d’un piratage.
Mais une chose est certaine : leur propagation a été fulgurante, alimentée par la viralité des réseaux sociaux. Face au scandale et aux moqueries, Juliana a choisi de désactiver son compte TikTok, signe que l’affaire l’a fortement ébranlée. Cette fuite soulève une nouvelle fois la question de la responsabilité numérique et du respect de la vie privée des personnalités publiques.
Une onde de choc numérique
Les vidéos montrent l’influenceuse congolaise dans plusieurs situations intimes : totalement nue, se filmant devant la caméra, dansant sensuellement ou s’adonnant à des gestes explicites. Ces images, devenues virales, sont abondamment commentées, parfois avec compassion, parfois avec une virulence qui interroge sur le cyberharcèlement.
Elles posent aussi la question de l’équilibre entre liberté individuelle, respect de la vie privée et responsabilité collective face aux dérives de la toile.
Sur les plateformes sociales, deux camps s’opposent : ceux qui dénoncent une violation grave de l’intimité et ceux qui estiment que l’affaire ternit irrémédiablement son image publique. En attendant, l’influenceuse reste silencieuse, laissant la rumeur enfler davantage.
Le précédent camerounais en toile de fond
Cette affaire intervient seulement quelques semaines après un autre scandale, celui des sextapes de deux policières camerounaises filmées en pleine intimité dans un bureau. La polémique avait poussé la Direction Générale de la Sûreté Nationale à suspendre plusieurs responsables et à ouvrir une enquête.
Au Congo comme au Cameroun, ces affaires soulignent la difficulté à contrôler la diffusion des contenus sensibles à l’ère numérique. Elles posent aussi la question de l’équilibre entre liberté individuelle, respect de la vie privée et responsabilité collective face aux dérives de la toile. Lire la suite sur https://www.linfodrome.com/faits-divers/112839-sextape-au-congo-les-videos-intimes-de-l-influenceuse-juliana-fuitent-et-enflamment-les-reseaux-sociaux