Depuis quelques semaines, le phénomène de Dubaï Porta potty anime la toile. Ce phénomène qui met en ligne de mire la femme et en particulier les influenceuses est vu comme crime contre l’humanité par le Psycho-criminologue Dr Hervé Gerard Brou.

La dévalorisation de l’espèce humaine 2>

Pour le criminologue, les personnes qui exercent un tel traitement à ces filles et femme sont une totale déviance. Ils commettent ainsi de la maltraitance vis-à-vis de cette gente féminine.

Même s’il y a la misère sociale, on peut venir en aide autrement à ces filles ou ces familles

« La Dubaï porta potty doit effectivement être considéré comme un acte criminel, parce que non seulement cela réduit l’espèce humaine, mais en plus, les actes qui sont posés sont des actes de déviance. Même s’il y a la misère sociale, on peut venir en aide autrement à ces filles ou ces familles. On peut créer des emplois, des activités génératrices de revenus pour les amener à sortir de la misère sociale, au lieu de les maltraiter de cette manière, par des actes sexuels qui tournent au masochisme » a-t-il relevé.

Devant ces actes ignobles, qui tendent à animaliser et chosifier l’être humain, Dr Hervé Gerard Brou souhaite que la cour pénale internationale (Cpi) soit saisie par les Ong.

« Justement, il faut que la loi, la réaction sociale, soit à la mesure de l’acte que nous avons vu. Alors, les Ong des droits de l’homme devraient interpeller la cour pénale internationale (Cpi). Ces actes peuvent être considérés comme des crimes contre l’humanité parce que c’est le haut degrés de la déchéance de l’homme qui fait de son prochain, un moins que rien » a-t-il lancé.

Il ajoute que « Ces déviances en sont graves et il faut rechercher les coupables, les poursuivre devant la justice et leur imputer de lourdes amendes qui peuvent aller jusqu’à l’hypothèque de leurs comptes et de leurs biens ».

Manque d’affection maternelle

Néanmoins, le criminologue met en évidence un problème d’affection dans au niveau de ces hommes qui s’adonnent à ce genre de pratique et d’orientation sexuelle. Selon lui, ils auraient eu des soucis avec leur mère.

« On les envoie, après enquête et audition, dans des centres de traitement parce qu’un homme qui traite une femme de cette manière a clairement manqué d’affection maternelle dans son enfance. Ce manque d’affection s’exprime tôt ou tard. Ces personnes doivent être poursuivies en justice » a-t-il noté.

Alain Zadi