Dans une affaire de violence conjugale qui fait grand bruit, les versions des faits de Fernand Lopez et de son ex-femme, Cécile Giornelli, divergent radicalement. Alors que Lopez prétend avoir giflé son ex-femme en réponse à une agression physique envers leur enfant, Giornelli rejette catégoriquement les « mensonges » de Lopez et affirme avoir été violemment frappée à plusieurs reprises, perdant même connaissance à deux reprises.
Dans un récent message publié sur son compte Instagram, Giornelli a tenu à présenter sa version des faits, mettant en avant son désir de mettre fin à la diffamation dont elle serait victime. Elle dénonce les mensonges, la victimisation, les manipulations de masse et l’utilisation de la notoriété médiatique de Lopez. Elle souligne également qu’elle ne souhaite pas exposer sa vie privée publiquement, mais qu’elle refuse d ’être présentée comme une femme violente et que la situation aurait « dérapé ». Elle affirme que lorsqu’elle perd connaissance, ce sont les pleurs de sa fille qui la ramènent à elle, et elle dément fermement les allégations de Lopez.
« À l’époque, je me pensais folle tellement mon cerveau avait été retourné. Et j’en ai juste ASSEZ ! Ces agissements en toute impunité doivent cesser. Que ce soit clair, je ne veux pas étaler ma vie privée en public. Mais, la victime c’est moi plus ma fille qui a tout vu. Et je refuse qu’on me fasse passer pour une femme violente et que la situation aurait ‘dérapée’. C’est faux… Je fais partie des gens qui ‘freeze’ en cas de danger, j’ai eu zéro réaction si ce n’est subir les coups. Nous sommes tous des combattants, vous savez tous que c’est le pire des réflexes néandertaliens. Quand je perds connaissance, et à deux reprises, ce sont les pleurs de ma fille qui me ‘réveillent’. Donc non, ce n’était pas une gifle, non, nous n’étions pas un couple violent« , ajoute t-elle. Lire la suite sur https://camerounactuel.com/affaire-de-violence-conjugale-des-versions-contradictoires-emergent-entre-fernand-lopez-et-son-ex-femme/
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