Les clichés du mariage de Lisa Bictogo remus la toile.
Plongé dans l’univers du beau, du ferrique et du glamour, les clichés du mariage de Lisa Bictogo, la fille d’Adama Bictogo, l’un des hommes forts du pouvoir d’Abidjan enflamment la toile.
Un mariage à la jet 7
Ce week-end, précisément le vendredi 25 mars 2022, Lisa Bictogo et Rachid Sarr se sont dit oui devant le maire après le mariage religieux célébré le 17 mars dernier par le président du Cosim, Cheick Ousmane Diaki té à la grande mosquée de la Riviera golfe.
Il faut valoriser la main-d'oeuvre locale
Dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux, on aperçoit son père Adama Bictogo qui lui tient la main pour la conduire devant l’autel.
On pouvait également apercevoir un parterre de personnalités aux premiers rangs des invités. Une célébration dans une ambiance ‘’jardin d’éden’’.
À la suite du mariage civil, les invités ont été conduit à l’espace laguna pour la réception. Un espace totalement métamorphosé par une décoration impressionnante avec des effets spéciaux à couper le souffle. Une soirée à la jet 7 Londoniennes au cours de laquelle les invités se sont éclatés dans un show DJ. L ‘’ Open mind’’ de la mariée a été salué sur la toile. En effet, elle n’est pas resté ‘’ coincé’’ pour faire les princesses. Elle s’est plutôt défoulée en faisant le show à outrance. On pouvait la voir Twerké, danser sur ‘’ godo godo’’ de Fior 2 bior et la musique d’autres artistes invités.
Une décoration importée
Selon plusieurs sources, l’incroyable mariage de Lisa Bictogo a été réalisé par une structure événementielle basée au Ghana. C’est cette structure qui a assuré (la décoration, les photos, organisation, le buffet mobile).
Sur la toile, les internautes se posent la question de savoir si la Côte d’Ivoire ne dispose pas de talents pour assurer un tel service?. Certains estiment que « le Nigeria et le Ghana ont pignon sur rue en matière de décoration et que c’était normal d’avoir recours à leurs services afin d’obtenir ce résultat». Pour d’autres qui ne partage pas cet avis, ils auraient souhaité que la main-d’ œuvre locale soit privilégiée.
Donald GONLI