Souleymane Kamagaté en complicité avec l’équipe de C’Midi de Caroline Dasylva à la RTI, a fait une belle surprise à son épouse Bamba Ami Sarah. Elle ne s’attendait pas à le retrouver sur le plateau de l’émission où il lui a à nouveau déclarer sa flamme en direct.
Souleymane Kamagaté explique qu’il ne se voyait pas donner du crédit à une femme au point de fonder un couple et un foyer. Cela, à cause des nombreux déboires et expériences subis par ses amis, tombés sur des filles cupides, des infidèles, des matérialistes, des insoumises. « Je voyais les femmes en diable », a-t-il énoncé en pouffant de rire.
« J’avais une idée négative très tranchée des femmes avant de connaître Bamba Ami Sarah. Elle a changé ma manière de voir, elle m’a donné envie de me marier ce qui n’était vraiment pas le cas auparavant. Je n’étais pas du tout prêt ! »
À la question de savoir comment ils arrivent à gérer leur couple avec toute la notoriété qu’ils ont dans le milieu showbiz, voici ce que répond Bamba Ami Sarah :
« Il n’y a pas de stars dans le foyer. On dépose nos casquettes de stars, tout ce qui est orgueil au seuil de la porte. À la maison, c’est Ami Sarah et Souleymane Kamagaté ».
« J’ai trouvé une épaule sur laquelle me poser. En tant qu’artiste on a tellement de propositions pour te rendre n’importe quoi, tout ce qu’il faut pour te mener à la perdition. Pour moi il était temps de me poser et de pouvoir fonder une vie de famille. Avec Souleymane Kamagaté, j’ai senti la sécurité, j’ai senti un père. Il ressemble un peu à mon papa », avoue Bamba Ami Sarah tout en rougissant les yeux pétillants de bonheur.
« Tu es une merveilleuse épouse, une merveilleuse mère. Merci pour les deux filles que tu nous a données. Tu es la meilleure femme que j’ai connue. Tu es une épouse adorable. Merci pour ton amour. Merci pour la transformation que tu as apportée à ma vie. Merci pour tout ton soutien », lui déclare Souleymane Kamagaté sous les ovations du public. « Merci d’avoir fait de moi une maman. Je t’aime à l’infini », retorque la chanteuse Coupé-décalé.
LÉONIE ADOU