
C’est une vraie tragédie qu’a vécue une New Yorkaise qui devait donner naissance à une petite fille, le jeudi 17 avril 2025. Au lieu de cela, ce sont sans doute encore des torrents de larmes qu’elle risque de verser.
Et pour cause, de naissance, il n’y aura pas, la jeune femme ayant avorté au mois de novembre dernier.
Ces derniers jours, c’est devant un tribunal qu’elle a raconté son histoire puisqu’elle a porté plainte après une affaire rocambolesque.
Epuisés moralement
Une histoire qui a démarré l’été dernier lorsque la plaignante et son compagnon se séparent, épuisés moralement et nerveusement par plusieurs échecs consécutifs dans leurs tentatives d’avoir un enfant.
Une séparation qu
i sera finalement un break puisque le couple se remettra ensemble quelques semaines plus tard. Et comme un bonheur n’arrive généralement pas seul, la jeune femme de 28 ans tombe enceinte dans la foulée.
Une aventure pendant le break
Or, celle-ci a un doute puisque durant le break, elle a eu des relations sexuelles avec un autre homme. Même s’ils se sont protégés durant ces relations, la jeune femme veut quand même s’assurer que son compagnon est bien le père de son futur enfant.
A la barre du tribunal, elle disait toutefois être certaine qu’il était bien le père de l’enfant. Je suivais mon ovulation, a-t-elle déclaré selon le New York Post.
Elle a donc fait pratiquer un test de paternité sans en parler à son compagnon, histoire de chasser tout nuage de son esprit.
Un test très sûr de lui
Mais voilà, plusieurs semaines après, la nouvelle tombe. Alors qu’elle avait effectué une cérémonie de révélation du sexe, la sentence est tombée : son aventure de quelques semaines était bien le père de son futur enfant et pas son compagnon. Un test concluant avec 99,99 % de certitude.
La New Yorkaise a alors dû prévenir ce dernier qui s’est effondré. Enceinte de 20 semaines, elle a alors décidé d’avorter, la date limite pour le faire étant de 24 semaines à New York.
Malgré le choc et l’avortement, le couple est resté soudé jusqu’à la période de la Saint-Valentin où le laboratoire DNA Diagnostics a contacté la jeune femme pour lui expliquer que les résultats du test de paternité qu’elle avait effectué n’étaient pas bons en raison d’une erreur informatique.
Un nouveau choc
L’homme avec lequel elle avait eu une courte relation n’était pas le père de l’enfant dont elle avait avorté.
Un nouveau choc pour le couple qui ne verra finalement pas son bébé conçu ensemble naître ce 17 avril. Un nouveau rebondissement qui définitivement fait éclater la relation. La New Yorkaise dit suivre une thérapie après cet épisode traumatisant de sa vie et souhaite que les laboratoires impliqués soient tenus responsables.
A combien d’autres personnes cela est-il arrivé ?, s’est-elle inquiétée.