On croirait à un scénario monté pour un film. Que non ! Jusque-là, l’on était habitué à ces drames consécutifs liés aux galipettes sexuelles dans les hôtels ou quelque part.
Mais là, cette fois, l’homme dont il s’agit ici, n’a même pas eu le temps de « s’enjailler », qu’il a été expédié ad patres. Cette histoire bien triste, qui s’articule une fois encore autour du sexe, ce « petit dieu » qui rend fou n’importe qui, se déroule le Mardi 14 janvier 2020, au quartier « Maroc » dans la commune bouillonnante de Yopougon.
Ce jour-là, en effet, informent nos sources, G. Bégro Oscar, jeune homme de 31 ans, invite sa femme A.L, une commerçante de 10 ans son aînée, à aller faire le « show » dans un maquis. En ces lieux, le couple dont la large différence d'âge semble bien au contraire « pimenter » l'amour, fait coule r l'alcool.
En fait, si le jeune Bégro Oscar se laisse ainsi aller dans cette partie de beuverie, il a bien son idée. Il se raconte, en effet, qu'une importante quantité d’alcool ingurgitée, décuple l’appétit sexuel chez les hommes, au point d'expédier au moins cinq « tournées » dans les entrailles de sa partenaire. L'alcool, une façon donc pour lui, de bétonner ses reins en vue du « show sexuel qu'il envisage à l'instant.
Celui-ci arrive peu après. Le couple éméché regagne alors sa demeure, au quartier « Maroc ». L'heure pour Bégro Oscar, de « descendre le caleçon ».
Mais alors que tout euphorique et vraisemblablement excité, il dépose sur la table sa demande de filer au 7e ciel, il reçoit à son grand étonnement, une fin de non-recevoir. Sa concubine lui explique que contrairement à l'effet d’excitation sexuelle qui lui procure l'alcool, elle, à contrario, est plutôt épuisée et la libido refroidie. Ce qu'elle veut donc, c'est pioncer et rien d'autre.
Mais son jeune mari, comme un chaud lapin, ne l'entend pas de cette oreille. Il tente d'ailleurs d’ôter ses vêtements à sa conjointe. Et toujours à son grand désarroi, cette dernière oppose une résistance. Les deux positions étant tranchées, il s'en suit alors, comme il fallait s'y attendre, une violente dispute.
Une dispute, d'où surviendra hélas, le drame. Et c’est dame A.L, elle-même, qui éclaire : « alors que tous étions en état d'ébriété avancé, mon mari tenait forcément à avoir des rapports sexuels avec moi. J'ai refusé et on s'est mis à se disputer, à lutter. Et voulant me défendre, je prends une bouteille à portée de main et lui administre un violent coup... », Confesse-t-elle.