
Grâce à une prestation collective du haut vol, le PSG a pulvérisé le Real de Mbappé en demi-finale de la Coupe du Monde des Clubs (4-0). Les Parisiens défieront Chelsea en finale.
09/07/25 - 23:51 - Bonne fin de soirée à tous et à toutes!
Merci à vous d'avoir suivi cette rencontre avec nous, on se retrouve très bientôt sur notre site pour d'autres échéances
09/07/25 - 23:45 - Mes choix tactiques n'ont pas marché
Xabi Alonso a avoué à DAZN que ses choix n'ont pas été les bons
-excluded=1>Je vais pas forcément l'analyse du match. Evidemment des choses comma ça, ça peut arriver. Mené 2-0 dès la 10ème minute c'est très compliqué face au PSG. Nos joueurs n'étaient pas connectés. Ca montre les choses qu'on doit améliorer. Le match d'aujourd'hui c'est la fin de cette saison mais c'est le début de saison prochaine qui va tout changer. On doit améliorer des choses. Mes choix tactiques n'ont pas fonctionné, mais on va analyser ça
09/07/25 - 23:35 - Le résumé du match, le PSG en état de grâce
Ce PSG, sacré champion d’Europe, a encore démontré ce mercredi soir ce qui fait de lui une puissance redoutable et quasi imprenable depuis le début de l’hiver. Les hommes de Luis Enrique, déjà brillants depuis le coup d’envoi de cette Coupe du monde des clubs, ont passé la vitesse supérieure pour livrer, au MetLife Stadium, une prestation tout simplement stratosphérique face au Real Madrid href=https://www.linternaute.fr/sport/foot/competitions/real-madrid/ data-insertor-excluded=1>Real Madrid de Kylian Mbappé. On se doutait que la qualité collective et la maîtrise technique du PSG pouvaient faire la différence, mais écraser le Real avec une telle autorité, une telle brutalité, dépasse l’imagination. Certes, il serait facile de pointer du doigt l’apathie madrilène en début de rencontre, avec ces intervalles béants entre les lignes qui donnaient l’impression que la Cinquième Avenue de New York avait été dessinée sur la pelouse pour faciliter les enchaînements parisiens. Mais cette capacité à se créer des occasions, à frapper fort d’entrée, à prolonger la domination et à conclure avec efficacité montre à quel point le PSG a changé de cap et évolue désormais dans une dimension supérieure. On aurait pu croire que le champion de France surfait encore sur l’euphorie de son sacre européen face à l’Inter (5-0), mais cette Coupe du Monde des Clubs pourrait bien être la confirmation éclatante de la naissance d’un collectif parfaitement huilé, implacable, et potentiellement historique en cas de victoire finale face à Chelsea.
Que dire de cette démonstration, sinon que ce PSG continue de défier toutes les attentes. Énumérer les quatre buts parisiens ne suffirait pas à décrire l’ampleur de sa supériorité face au Real Madrid. Après deux alertes signées Fabian Ruiz (4e) et Nuno Mendes (5e), repoussées en catastrophe par Courtois, les Parisiens ont enclenché le mode rouleau compresseur, sanctionnant sans pitié les errements défensifs madrilènes. Ousmane Dembélé, dans un rôle de détonateur, s’est montré dévastateur à la récupération et dans le pressing. Sur l’ouverture du score, il gêne Raul Asencio dans la surface, contre le ballon, puis sert parfaitement Fabian Ruiz, seul dans l’axe (1-0, 6e). Trois minutes plus tard, il profite d’une relance catastrophique de Rüdiger pour lui subtiliser le cuir et tromper une seconde fois le portier belge (2-0, 9e). Le troisième but, véritable concentré du style parisien, jeu simple, fluide, limpide, a mis en lumière le désordre défensif madrilène : Dembélé combine, Hakimi surgit à droite, et centre à ras de terre pour Ruiz, encore lui, qui signe un doublé (3-0, 24e). Malgré quelques tentatives signées Kvaratskhelia, Paris a desserré l’étau jusqu’à la 88e minute, moment choisi par Gonçalo Ramos pour apporter la touche finale. Sur une action initiée par Barcola, le Portugais ajuste Courtois d’une frappe en pivot parfaitement maîtrisée.
En face, le Real Madrid n’a jamais su sonner la révolte. Le trident offensif Mbappé – Vinicius – Gonzalo Garcia est resté étonnamment inoffensif, privé d’espaces, d’inspiration et de liant. Il a fallu attendre l’entrée de Militao pour voir deux maigres tentatives (85e, 87e), sans réel danger. Cette impuissance chronique a surtout mis en lumière la solide organisation défensive du PSG, portée par un Beraldo particulièrement concentré, intraitable, et parfait dans le rôle de suppléant de Pacho dans l’axe central.
Ce large succès qualifie donc le PSG pour la grande finale de la Coupe du monde des clubs, où il défiera une équipe de Chelsea séduisante mais clairement à sa portée. Au MetLife Stadium, Ousmane Dembélé a frappé un grand coup, en étant à l’origine des trois premiers buts. De quoi relancer sérieusement le débat autour du Ballon d’Or, un débat qui semble aujourd’hui presque clos. Presque. Car Dembélé a désormais rendez-vous avec l’Histoire, dimanche, face aux Blues. À lui de conclure en beauté.
09/07/25 - 23:25 - On arrive souvent en retard à petits pas
Thibault Courtois a souligné les nombreuses carrences défensives de son équipe Le PSG, c'est actuellement le champion d'Europe. C'est une équipe qui presse très haut, qui laisse des espaces mais on a pas su profiter. On a fait deux erreurs qui ont engendré deux buts. Hakimi était souvent seul. On arrive souvent en retard à petits pas sur les Parisiens. Après en deuxième mi-temps, ils ont lâché un peu Lire la suite sur https://www.linternaute.com/sport/foot/8310193-direct-psg-real-madrid-suivez-le-match-en-direct/#utm_source=MagNews&utm_medium=email&utm_campaign=Actualite_10/07/2025&een=56e4afb524b20c898ad63cea5642b879&seen=2&gbmlus=c563b8e900d80bfce9dec6cc86faaf6d82ba9713e4d59ada015a98dd6e1c968e