Affaire Prince Aimé : Le plan \"diabolique\" de Maahlox et Wax Dey pour freiner Debordo Leekunfa dévoilé
Postée le 08-01-2025 / 12 Vues

Une nouvelle polémique mettant en lumière des accusations de complot et de manipulation dans l’affaire opposant les artistes Maahlox, Wax Dey, et le chanteur ivoirien Debordo. Au cœur de cette tempête, l’ancien manager de Prince Aimé, a brisé le silence, dévoilant les coulisses d’un conflit qui divise les fans.

Un plan pour la “fierté nationale” ?

Dans une déclaration publique, Wax Dey a affirmé dans une vidéo avoir bloqué les initiatives de Debordo pour des raisons stratégiques. Selon lui, Debordo avait l’autorisation légale de sortir un remix avec Prince Aimé, mais Maahlox aurait insisté pour privilégier une collaboration purement camerounaise. Tu m’as expliqué, Maahlox, qu’il fallait qu’on agisse pour la fierté de la nation. J’ai donc bloqué Debordo pour qu’on sorte d’abord une version purement camerounaise avec le remix des Mbass Têtes, a-t-il confié.

Cependant, Wax Dey accuse également Maahlox de manipulations et de mensonges, soulignant que les promesses liées au sponsoring et à la promotion de la chanson n’auraient pas été tenues. Notre contrat prévoyait que tu nous livres la vidéo pour la page de Prince Aimé. Pourtant, malgré les fonds obtenus de TaptapSend et Orange, aucun argent n’a été versé à Prince Aimé, a-t-il ajouté.

L’ancien manager de Prince Aimé a également pointé du doigt Kenfack, accusé d’avoir orchestré un blocage stratégique pour empêcher tout remix avec des artistes étrangers. Selon lui, l’objectif était de mettre en avant le projet camerounais, quitte à freiner la carrière de Prince Aimé à l’international.

Je me suis introduit dans ce projet entre toi et Debordo pour essayer d’encadrer les choses. Mais pendant ce temps, Prince Aimé refusait de travailler avec toi, Maahlox, ni de valider ton remix. C’était un choix stratégique, et Debordo avait tous les droits d’enregistrer sa version, a-t-il révélé.

Maahlox est également accusé d’avoir utilisé la situation pour se positionner comme un philanthrope, tout en jetant son ancien collaborateur à la vindicte populaire. C’est toi qui disais que Prince Aimé n’a pas la patience ni l’intégrité pour mener un projet de fondation. Pourquoi maintenant prétends-tu te soucier de lui ?, a lancé l’ancien manager, visiblement amer face à cette trahison.

Le point culminant de cette affaire reste le blocage de Debordo, qui aurait été accusé d’avoir vendu la chanson à l’insu de Prince Aimé et d’avoir inscrit son nom comme auteur principal. Une accusation qui, selon l’ancien manager, ne tient pas la route. Je n’ai rien contre personne, mais je voulais simplement protéger les intérêts de Prince Aimé. Pourtant, on m’accuse aujourd’hui de manipulations, s’est-il défendu.

Kablan Carmel

Mots clés: #Prince Aimé
Source : ABIDJANSHOW.COM
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