”Beyoncé n'est pas une Afro-américaine, elle est un disciple de satan”: les gaves accusations d'un politicien américain
Postée le 07-07-2020 / 722 Vues

K.W. Miller, un politicien américain et candidat aux élections législatives, affirme que Beyoncé est une Italienne dont le vrai nom est Ann Marie Lastrassi.

Une nouvelle théorie de conspiration sur l’identité de Beyoncé Knowles fait la Une des médias sociaux. Émise par K.W. Miller, un politicien qui se présente aux élections législatives américaines, cette théorie révèle que la chanteuse a falsifié son identité pour devenir célèbre. Selon la même Théorie, la chanteuse est un disciple de satan.

«Beyoncé n’est pas Africaine-Américaine. C’est juste de la publicité. Son vrai nom est Ann Marie Lastrassi. Elle est Italienne […] Beyoncé, personne n’est dupe !», a écrit l’homme politique sur les rése aux sociaux.

« Tout cela fait partie du programme « Deep State » de George Soros et ses alliés pour le mouvement Black Lives Matter. ATTENTION, vous êtes prévenus ! » a-t-il poursuivi.

Dans un autre tweet, le politicien affirme  que la chanson de Beyoncé « Formation » est « un message codé secret pour les mondialistes ».

« La chanson montre clairement qu’elle est démoniaque et et qu’elle vouait un culte aux églises sataniques de l’Alabama et de la Louisiane. Elle garde des symboles satanistes dans son sac. »

Dans «Formation», Beyoncé chante : «Je pourrais bien être une Bill Gates Noire en devenir». Il n’en fallait pas plus à KW Miller pour y voir un nouveau complot. «Quatre ans plus tard, en 2020, le mouvement Black Lives Matter terrorise le pays et au même moment, Bill Gates milite pour une vaccination contre le COVID». 

Le candidat, fervent supporter de Donald Trump à en juger par les hashtag #Trump2020 et #MAGA utilisés à outrance sur sa page, a conclu sa diatribe en accusant les personnalités noires de cultiver une forme de victimisation au lieu «d’élever la communauté noire». 

                                                                                              Gaelle KAMDEM

Source : AFRIKMAG
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