FACEAPP cette application qui est devenue virale en quelques jours.
FACEAPP a été créée il y a plus d’un an par une équipe de développeurs de Saint-Pétersbourg, en Russie. Bien qu’elle propose des dizaines de filtres (ajout de barbe, jeune, chauve, coiffure, sourire, etc…), l’un d’entre eux est devenu particulièrement populaire ces derniers jours: celui du “vieillissement”.
border: 0px; vertical-align: baseline; font-size: 15px; font-family: 'Open Sans', Arial, sans-serif; color: #606569;>Grâce à ce filtre, l’application gratuite connait un véritable succès qu’elle s’est hissée ce mercredi en tête du classement des applications gratuites sur IOS ET ANDROID .Sportifs, star de cinéma ou musique etc… tout le monde l’a essayée.
La transformation artificielle s’est largement améliorée, avec l’application Faceapp, pourtant Il y a quelques mois, les filtres de Snapchat (masculin/féminin, bébé) étaient également viraux. Mais l’application russe génère des résultats plus réalistes grâce une technologie différente, basée sur l’intelligence artificielle. De son côté, Snapchat détecte simplement les traits du visage et ajoute le filtre, avec un résultat bien moins précis.
FaceApp est elle sécurisée?
Comme toute autre application l’on est amené à se poser la question de savoir si l’application est sécurisée? Certains internautes ont manifesté leur inquiétudes , en raison des conditions d’utilisation jugées trop floues. Il est ainsi précisé que tout utilisateur cède à l’entreprise un accès “irrévocable et perpétuel” sur ses photos et données personnelles.
Selon le texte, FaceApp est par ailleurs autorisé à “reproduire, modifier, adapter, publier” ce contenu, sans compensation.
Un internaute de twitter a également assuré que FaceApp téléchargeait l’intégralité des photos de la pellicule de l’utilisateur, sans demander sa permission. Une affirmation qui a très vite été démentie par Baptiste Robert , spécialiste en cybersécurité.
“L’application télécharge uniquement la photo que l’on est en train de modifier”, certifie le hacker français lors d’un interview à BFM Tech. ” Snapchat fait exactement pareil. Avant de raconter n’importe quoi, les gens feraient mieux de s’indigner des données que collectent les grosses applications comme Twitter ou Facebook” conclut-il.
Andréa AVI