L'éjaculation féminine varie d'une femme à une autre. Elle est à peine visible chez certaines, mais beaucoup plus abondante chez d'autres. Les femmes chez qui elle est abondante se retrouvent parfois complexées.
Le sujet est tabou. Surtout dans les sociétés africaines, nul n’ose en parler ouvertement. D’ailleurs les discussions sur la sexualité sont rarement engagées dans les familles en Afrique. Il est aussi rare de trouver une femme qui s’affirme et dévoile sa sexualité avec les petits secrets qu’il y a autour.
Mais Fanta, un nom que nous lui avons emprunté pour protéger son intimité, jeune dame de 38 ans que BBC Afrique a réussi à joindre depuis Lomé au Togo, se montre décomplexée et à l’aise dans les discussions. Pour elle, ces clichés semblent appartenir à une autre époque.
size: 15px;>Il n’y a rien à se reprocher du moment où faire l’amour et décupler son plaisir font partie des besoins naturels d’un être humain, nous dit-elle avec une voix taquine qui laisse deviner sa personnalité.
''Monsieur le journaliste, je suis une femme, je libère du liquide abondant quand j’approche ou j’atteins l’orgasme, je l’assume'', nous confie la jeune femme, célibataire et mère d'un enfant.
''C’est vrai qu’au début, c’était difficile, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, surtout avec les rejets de certains hommes qui ne mesurent pas le plaisir qu'il y a à avoir une femme de ma trempe dans leur lit''....lire la suite de l'article sur bbc
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