La lutte contre le trafic de drogue sous toutes ses formes est menée chaque jour sous la férule de la direction de la police des stupéfiants et des drogues (DPSD) sur toute l’étendue du territoire national.

L’opération a été menée dans le village d’Assoumou-Kouassikro

Dans cette dyn amique, une opération a été menée dans la matinée du lundi 25 juillet 2022, dans le village d’Assoumou-Kouassikro, dans la sous-préfecture de Prikro.

Cette opération menée par la police des stupéfiants et drogues du commissariat de Daoukro conduite par le capitaine de police B.H. a permis d’interpeller deux individus à Assoumou-Kouassikro et de détruire un demi hectare de champ de cannabis.

Selon Daoukro 24, les deux individus interpellés sont tous de nationalité ivoirienne. Il s'agit de K.A, 42 ans, cultivateur, domicilié à Assoumou- Kouassikro S/P de Prikro et de K.M, 40 ans, lui aussi cultivateur, domicilié dans le même village.

Tous deux ont été tous conduits à la Préfecture de Police de Yamoussoukro pour procédure et répondent de leurs actes devant la justice.

Cette opération menée avec succès intervient quelques mois après la saisie d’une importante quantité de cocaïne

Cette opération qui a été menée avec succès intervient quelques mois après la saisie d’une importante quantité de cocaïne. Une opération qui a eu lieu les vendredi 15 et jeudi 21 avril 2022, dans les villes d’Abidjan et San Pedro.

Ce sont exactement deux tonnes, cinquante-sept kilogrammes et 259 grammes de drogue qui ont été saisies pour une valeur marchande de 41 milliards cent quarante-cinq millions cent quatre-vingt mille francs CFA (41 145 180 000 Fcfa).

A la suite de cette saisie record, le Procureur de la République, Richard Adou, avait annoncé l’interpellation d’une « trentaine de personnes contre qui des indices existent et qui sont déjà sous la main de la justice ».

Sans dévoiler de nom, le Procureur Adou Richard a laissé entendre que « les personnes poursuivies tout comme celles qui auront participé de près ou de loin à cette infraction transactionnelle organisée, encourent une peine d’emprisonnement de 20 ans ».

Adolphe ANGOUA