Transport en commun: Une journée d’enfer dans un gbaka
Postée le 02-12-2024 / 193 Vues

À Abidjan, il ne se passe pas un jour où les passagers du véhicule de transport en commun, appelé communément « gbaka », ne se disputent pas avec les apprentis des chauffeurs de ce type de moyen de déplacement. Les causes, des attitudes peu recommandables de ces derniers envers ces citoyens qui ne désirent que se rendre d’une zone à une autre pour vaquer à leurs différentes occupations quotidiennes.
 
L’usage du gbaka, véhicule de transports en commun intercommunaux, par certains Abidjanais, est bien fréquent ; le prix du transport étant moins coûteux que ceux du taxi-compteur e t de la Voiture de transport avec assistance (VTC). On peut alors comprendre les raisons pour lesquelles plusieurs opérateurs économiques investissent d’importants moyens financiers dans ce domaine d’activité. Seulement voilà ! Il est rare de ne pas être de mauvaise humeur, une fois qu’on emprunte le gbaka à Abidjan.
 
Ce lundi 28 octobre 2024, de bonne heure, nous embarquons pour la commune de Cocody, carrefour nouveau goudron. AK, résidant dans la commune de Yopougon, a regretté de prendre place dans l’une de ces voitures pour pouvoir rallier Cocody où il exerce le métier de plomberie.
 
Tout a commencé dès son arrivée à la gare de gbaka de Yopougon Koweït. Voulant savoir lequel des véhicules stationnés, est programmé pour le départ, l’un des apprentis gbaka avec qui il échange, sans procédure aucune, répond : « Vieux père, je ne suis pas apprenti hein… Je ne suis pas chauffeur ». Des propos qui donnent de comprendre déjà, un début de journée difficile que nous allons vivre, installés dans ce moyen de déplacement en commun.

Manque de respect envers les passagers

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Source : Scoopernews.com
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